vendredi 26 juillet 2024

Hymne Ă  l'Amour

 


Hymne Ă  l'amour est une chanson sortie en 1950, dont les paroles ont Ă©tĂ© Ă©crites par Édith Piaf et la musique par Marguerite Monnot

 
Paroles :
 
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrerEt la Terre peut bien s'Ă©croulerPeu m'importe si tu m'aimesJe me fous du monde entier
 
Tant qu'l'amour innondera mes matinsTant qu'mon corps frémira sous tes mainsPeu m'importe les problÚmesMon amour, puisque tu m'aimes
 
J'irais jusqu'au bout du mondeJe me ferais teindre en blondeSi tu me le demandaisJ'irais décrocher la LuneJ'irais voler la fortuneSi tu me le demandaisJe renierais ma patrieJe renierais mes amisSi tu me le demandaisOn peut bien rire de moiJe ferais n'importe quoiSi tu me le demandais
 
Si un jour, la vie t'arrache Ă  moiSi tu meurs, que tu sois loin de moiPeu m'importe si tu m'aimesCar moi je mourrais aussi
 
Nous aurons pour nous l'éternitéDans le bleu de toute l'immensitéDans le ciel, plus de problÚmeMon amour, crois-tu qu'on s'aime?Dieu réunit ceux qui s'aiment
 
Source : Musixmatch
 
 

 
 

 
 
 

mercredi 24 juillet 2024

L'ancien harmonium de l'église du Sacré-Coeur de Pont-Scorff

L'harmonium Christophe et Etienne

 



L'ancien harmonium de l'Ă©glise du SacrĂ©-Coeur de Pont-Scorff (Morbihan), jouĂ© avec passion par Louis-Jean Guillou jusqu'Ă  son dĂ©cĂšs en 2020, sera bientĂŽt remplacĂ© par un orgue numĂ©rique. Pour l'instant, l'harmonium a Ă©tĂ© relĂ©guĂ© dans un coin de l'Ă©glise, prĂšs d'un vieux confessionnal. C'est une triste fin pour cet instrument qui a accompagnĂ© de nombreux offices et concerts auxquels j'ai eu le privilĂšge de participer avec l'harmoniumiste pendant plusieurs annĂ©es. Une nouvelle page se tourne... 

 

 

Dans le transept nord
 

Le TĂ©lĂ©gramme du 27 fĂ©vrier 2004 

 
 
L'orgue numérique

 
 
L'église du Sacré-Coeur de Pont-Scorff

 
 
 
L'intérieur de l'église

 

lundi 15 juillet 2024

32Ă©me Festival international d'Orgue Michelle Leclerc Ă  Sens

MICHELLE LECLERC

 

Source : Ville de Sens (Yonne)

 
đđąđœđšđ„đš̀ 𝐒𝐀𝐑𝐈 🇼đŸ‡č
🗓 Dimanche 21 juillet à 17h
𝐁𝐞𝐧𝐣𝐚𝐩𝐱𝐧 𝐒𝐓𝐄𝐄𝐍𝐒 đŸ‡«đŸ‡·
🗓 Dimanche 28 juillet à 17h
𝐂𝐞́đœđąđ„đž 𝐃𝐔𝐐𝐔𝐄𝐍𝐍𝐄 đŸ‡«đŸ‡·
🗓 Dimanche 4 aoĂ»t Ă  17h
đŠđ«đłđČ𝐬𝐳𝐭𝐹𝐟 𝐎𝐒𝐓𝐑𝐎𝐖𝐒𝐊𝐈 đŸ‡”đŸ‡±
🗓 Dimanche 11 aoĂ»t Ă  17h
đŒđšđ«đ đĄđžđ«đąđ­đš 𝐒𝐂𝐈𝐃𝐃𝐔𝐑𝐋𝐎 🇼đŸ‡č
🗓 Dimanche 18 aoĂ»t Ă  17h
𝐋𝐼𝐜 𝐏𝐀𝐆𝐀𝐍𝐎𝐍 đŸ‡«đŸ‡·
🗓 Dimanche 1er septembre à 17h
đŸ–„ RĂ©servez dĂšs maintenant vos billets sur https://swll.to/reservation-bel-ete
 
 

dimanche 14 juillet 2024

A Paris dans chaque faubourg

 

Cette chanson d'amour, sur des airs de valse musette lente, à la fois joyeuse et nostalgique, est créée et enregistré sur disque 78 tours en 1933, par Lys Gauty, pour la musique du film 14 juillet, de René Clair.

 



À Paris quand le jour se lĂšve, Ă  Paris dans chaque faubourg, Ă  vingt ans on fait des rĂȘves, tout en couleur d'amour, comme un espoir infini... »

 

Chantée par Lys Gauty

 

Une interprétation flûte à bec ténor et accordéon


vendredi 12 juillet 2024

Mabel Langton, Tambour-Major

 

Mabel LANGTON en 1930 - Wide World Photos -The New-York Times


Petites victoires féminines

La jeune Mabel LANGTON, ĂągĂ©e de 17 printemps, dĂ©tient le titre inattendu de tambour-major d'une grande universitĂ© californienne. Elle prend part Ă  toutes les manifestations artistiques, Ă  tous les dĂ©filĂ©s, Ă  toutes les parades, vĂȘtue de l'uniforme troyen qu'elle porte fort crĂąnement (elle n'a point adoptĂ©, toutefois, la culotte) et complĂšte trĂšs brillamment  et de façon tout Ă  fait honorable, la troupe de 200 hommes qui composent le corps musical de l'universitĂ©. Elle joue de cinq instruments et son talent est considĂ©rĂ© comme Ă©gal Ă  celui du meilleur tambour-major des Etats-Unis.

Source : The New-York Times

 

Le Grand écho du Nord de la France 01 décembre 1929
 

L'EgalitĂ© de Roubaix-Tourcoing 26.11.1930 

 
Le Populaire 07.12.1930


jeudi 11 juillet 2024

Pour me rendre Ă  mon bureau

 

Pour me rendre Ă  mon bureau est le titre d'une chanson de Jean Boyer de 1945. Les paroles et la musique sont de Jean Boyer. InterprĂšte : Georges Tabet.

Pour me rendre Ă  mon bureau, j'avais achetĂ© une autoUne jolie traction avant qui filait comme le ventC'Ă©tait en juillet 39, je me gonflais comme un bƓufDans ma fiertĂ© de bourgeois d'avoir une voiture Ă  moiMais vint septembre, et je pars pour la guerreHuit mois plus tard, en revenantRĂ©quisition de ma onze chevaux lĂ©gĂšreNein verboten provisoirement
 
Pour me rendre Ă  mon bureau alors j'achĂšte une motoUn joli vĂ©lomoteur faisant du quarante Ă  l'heureÀ cheval sur mon teuf-teuf je me gonflais comme un bƓufDans ma fiertĂ© de bourgeois de rentrer si vite chez moiElle ne consommait presque pas d'essenceMais presque pas, c'est encore tropVoilĂ  qu'on me retire ma licenceJ'ai dĂ» revendre ma moto
 
Pour me rendre Ă  mon bureau alors j'achĂšte un vĂ©loUn trĂšs joli tout nickelĂ© avec une chaĂźne et deux clĂ©sMontĂ© sur des pneus tout neufs je me gonflais comme un bƓufDans ma fiertĂ© de bourgeois d'avoir un vĂ©lo Ă  moiJ'en ai eu coup sur coup une douzaineOn me les volait pĂ©riodiquementComme chacun d'eux valait le prix d'une CitroĂ«nJe fus ruinĂ© trĂšs rapidement
 
Pour me rendre Ă  mon bureau alors j'ai pris le mĂ©troÇa ne coĂ»te pas trĂšs cher et il y fait chaud l'hiverAlma, IĂ©na et MarbƓuf je me gonflais comme un bƓufDans ma fiertĂ© de bourgeois de rentrer si vite chez moiHĂ©las par Ă©conomie de lumiĂšreOn a fermĂ© bien des stationsEt puis ce fut, ce fut la ligne toute entiĂšreQu'on supprima sans rĂ©mission
 
Pour me rendre Ă  mon bureau j'ai mis deux bons godillotsEt j'ai fait quatre fois par jour le trajet Ă  pied aller-retourLes Tuileries, le Pont-Neuf je me gonflais comme un bƓufFier de souffrir de mes cors pour un si joli dĂ©corHĂ©las, bientĂŽt, je n'aurai plus de godassesLe cordonnier ne ressemelle plusMais en homme prudent et perspicacePour l'avenir j'ai tout prĂ©vu
 
Je vais apprendre demain Ă  me tenir sur les mainsJ'irai pas trĂšs vite bien sĂ»r mais je n'userai plus de chaussuresJe verrai le monde de bas en haut c'est peut-ĂȘtre plus rigoloJe n'y perdrai rien par surcroĂźtIl est pas drĂŽle Ă  l'endroit

 

Chanté par Georges Tabet


Une interprétation flûte à bec ténor et piano


 
 
 

lundi 1 juillet 2024

L'entrée des Sacrificateurs et des Combattants

 

 

"L'entrée des sacrificateurs et des combattants" est une piÚce musicale composée par Jean-Baptiste Lully pour son opéra "Thésée". Jean-Baptiste Lully était un compositeur franco-italien du XVIIe siÚcle, célÚbre pour avoir développé le genre de l'opéra en France.

Voici quelques informations sur cette marche spécifique :

  1. Contexte et Ɠuvre :

    • "ThĂ©sĂ©e" est un opĂ©ra en cinq actes composĂ© par Lully sur un livret de Philippe Quinault. Il a Ă©tĂ© crĂ©Ă© Ă  Paris en janvier 1675 Ă  l'AcadĂ©mie Royale de Musique.
    • L'opĂ©ra relate l'histoire mythologique de ThĂ©sĂ©e, le hĂ©ros grec, et ses aventures, y compris son combat contre le Minotaure Ă  CrĂšte.
  2. La Marche des sacrificateurs et des combattants :

    • Cette marche fait partie de l'acte III de l'opĂ©ra "ThĂ©sĂ©e". Elle intervient lors d'un moment dramatique oĂč ThĂ©sĂ©e, ayant vaincu le Minotaure, revient en GrĂšce et est cĂ©lĂ©brĂ© par les sacrificateurs et les combattants.
  3. Caractéristiques musicales :

    • Lully Ă©tait cĂ©lĂšbre pour son style d'opĂ©ra français qui incluait des danses et des airs spĂ©cifiques pour chaque acte et chaque scĂšne.
    • La Marche des sacrificateurs et des combattants serait typiquement dans le style de la musique de cour française de l'Ă©poque, avec des rythmes majestueux et des mĂ©lodies solennelles.
  4. HĂ©ritage et impact :

    • L'opĂ©ra "ThĂ©sĂ©e" de Lully a Ă©tĂ© trĂšs bien accueilli Ă  sa crĂ©ation et a contribuĂ© Ă  Ă©tablir le style de l'opĂ©ra français baroque.
    • Lully a Ă©tĂ© un pionnier dans l'utilisation de la musique pour renforcer le drame et l'expression Ă©motionnelle dans le thĂ©Ăątre lyrique, influençant ainsi de nombreux compositeurs ultĂ©rieurs.

En résumé, la "Marche des sacrificateurs et des combattants" de Jean-Baptiste Lully est une piÚce musicale significative dans son opéra "Thésée", illustrant son talent pour combiner musique et théùtre dans le contexte de l'opéra français du XVIIe siÚcle.

 

 

 

Une interprĂ©tation royale ⚜️
 

 

 

Une transcription pour orgue đŸŽč