vendredi 28 février 2025

Kerynia mou" (Κερύνεια μου)

"Kerynia mou" (Κερύνεια μου), qui se traduit par "Ma Kerynia", est une chanson grecque composée par Pantelis Thalassinos, avec des paroles de Polys Kyriakou. Elle a été interprétée pour la première fois par George Dalaras et Pantelis Thalassinos. La chanson exprime la douleur et la nostalgie liées à la ville de Kerynia, située dans la partie nord de Chypre, une région marquée par des conflits historiques.

Les paroles évoquent l'allumage d'une bougie et la musique mélancolique pour raviver la mémoire et la douleur associées à Kerynia. Le narrateur parle de jouer du violon dans la cour de sa maison, de danser avec Kerynia comme un homme devenu fou, et de la pluie qui vient comme une épreuve de résistance. Les notes montent, et les gouttes de pluie, comparées à du sang, les trouvent. La chanson se termine par des questions sur qui les blesse, qui leur fait mal, qui les poignarde et qui les unit.

Pour une traduction française complète des paroles, vous pouvez consulter le site stixoi.info

J'allumerai une bougie ce soir
avec ma triste musique de Kyrenia.
Pour venir la lumière et me trouver
Laisse la mémoire ouvrir ma blessure Kyrenia.

J'irai avec un vieux violon
Dans ma maison ma cour Kyrenia.
Ma Kyrenia.
Pour danser un tour
comme un homme qui était en colère, Kyrenia.
Ma Kyrenia.

Puis il viendra une pluie
comme une échelle dans mon endurance Kyrenia.
Les notes augmenteront
Avec le sang, les gouttes nous trouveront mon Kyrenia

J'irai avec un vieux violon
Dans ma maison ma cour Kyrenia.
Ma Kyrenia.
Pour danser un tour
comme un homme qui était en colère, Kyrenia.
Ma Kyrenia.

Qui nous fait mal ? Qui nous fait du mal ?
Qui est à coups de couteau ?
Qui nous fait mal ? Qui nous fait du mal ?
Qui nous unit ?

Cette chanson est une expression poignante de la douleur et de la nostalgie liées à la ville de Kerynia, reflétant les sentiments de perte et de mémoire associés à cette région.

 



vendredi 21 février 2025

Concerto pour Anna Maria - Vivaldi

 

Anna Maria

 

Le Concerto pour violon en si mineur, RV 387, d'Antonio Vivaldi (1678-1741), est une œuvre dédiée à Anna Maria della Pietà, une violoniste talentueuse formée à l'Ospedale della Pietà à Venise, où Vivaldi enseignait. Ce concerto comprend trois mouvements : Allegro, Largo et Allegro.

 


 

Le deuxième mouvement, le "Largo", se distingue par sa mélodie expressive et son atmosphère contemplative, mettant en valeur la virtuosité et la sensibilité de l'interprète.


 
 

vendredi 14 février 2025

La tendresse

 

Photo M. Bluestone-Ace-Slide
 

La Tendresse est une chanson française dont le texte a été écrit par Noël Roux et la musique composée par Hubert Giraud. Bourvil l'a interprétée en 1963 et Marie Laforêt l'a reprise l'année suivante. Le compositeur a co-édité l'œuvre avec les éditions SEMI. Ce titre a fait l’objet de nombreuses reprises et interprétations.  Source :Wikipédia

 

Paroles

 
On peut vivre sans richessesPresque sans le souDes seigneurs et des princessesY en a plus beaucoup
 
Mais vivre sans tendresseOn ne le pourrait pasNon, non, non, nonOn ne le pourrait pas
 
On peut vivre sans la gloireQui ne prouve rienÊtre inconnu dans l'HistoireEt s'en trouver bien
 
Mais vivre sans tendresseIl n'en est pas questionNon, non, non, nonIl n'en est pas question
 
Quelle douce faiblesseQuel joli sentimentCe besoin de tendresseQui nous vient en naissantVraiment, vraiment, vraiment
 
Le travail est nécessaireMais s'il faut resterDes semaines sans rien faireEh bien, on s'y fait
 
Mais vivre sans tendresseLe temps vous paraît longLong, long, long, longLe temps vous paraît long
 
Dans le feu de la jeunesseNaissent les plaisirsEt l'amour fait des prouessesPour nous éblouir
 
Oui mais sans la tendresseL'amour ne serait rienNon, non, non, nonL'amour ne serait rien
 
Quand la vie impitoyableVous tombe dessusQu'on n'est plus qu'un pauvre diableBroyé et déçu
 
Alors sans la tendresseD'un cœur qui nous soutientNon, non, non, nonOn n'irait pas plus loin
 
Un enfant nous embrasseParce qu'on le rend heureuxTous nos chagrins s'effacentOn a les larmes aux yeuxMon dieu, mon dieu, mon dieu
 
Dans votre immense sagesseImmense ferveurFaites-donc pleuvoir sans cesseAu fond de nos cœurs
 Des torrents de tendressePour que règne l'amourRègne l'amourJusqu'à la fin des jours
 
Source : Musixmatch
Paroliers : Hubert Yves Giraud / Noël Roux
Paroles de La Tendresse © World Music S.a.
 
 
 
Bourvil

 
Une interprétation à la flûte à bec
 

samedi 8 février 2025

Besame Mucho (Kiss me)

 


 Origine et composition

"Bésame Mucho" est une chanson écrite en 1932 par la pianiste et compositrice mexicaine Consuelo Velázquez (1916-2005). Elle aurait composé cette mélodie alors qu’elle n’avait que 15 ou 16 ans, et selon certaines sources, elle n’avait même jamais embrassé quelqu’un à l’époque ! Inspirée par des mélodies classiques, notamment "Quejas, o la Maja y el Ruiseñor" d'Enrique Granados, la chanson évoque l'intensité du désir et de la passion amoureuse.

Succès international

Dès sa publication, Bésame Mucho devient un énorme succès, d'abord en Amérique latine, puis aux États-Unis et en Europe. La chanson est rapidement adaptée en plusieurs langues et interprétée par de nombreux artistes.

Interprétations et impact culturel

Devenue un standard de la musique romantique, Bésame Mucho a été reprise par des légendes de la musique

Elle est également utilisée dans de nombreux films et spectacles, renforçant son statut de chanson intemporelle.

Héritage

Aujourd'hui, Bésame Mucho reste l'une des chansons les plus interprétées et enregistrées de l'histoire. Son message d’amour universel et sa mélodie envoûtante en font un symbole de la romance à travers les générations.

 

Partition

    flûte à bec et piano

mardi 4 février 2025

Mise au point du tambour de ville

 

Joseph Sékély

😲 🥁 Avis à la population ! Mise au point de M. Joseph Sékély, tambour de ville de Vendeuvre-sur-Barse (Aube), à propos d'un vol de lapins dont la presse de l'époque fit écho concernant le nommé Roujeau (Rougeot) qui s'est fait passer pour le tambour de ville de Vendeuvre. Qu'on se le dise ! 📣


Le Petit Républicain de l'Aube 23 octobre 1889